1 mois en enfer
il y a un an, je vivais un enfer...
vous commencez à savoir qu'il s'appelle loïc, même si j'en parle nettement moins qu'avant, heureusement.
il y a un an, il ne savait plus où il en était vis à vis de moi. j'avais été moins même un peu perdue, et n'aurais jamais du lui en faire part, vu la suite.
il y a un an, je lui ai proposé un mois de pause, histoire de voir si je lui manquais. je détestais cette décision, tout en sachant qu'elle était plus que nécessaire. il l'a acceptée.
au bout de deux semaines, il voulait me revoir. j'en étais contente! je lui manquais... on s'est vu à la citadelle de lille, endroit neutre. au bout d'un peu de bavardage et promenage, il m'a dit qu'il n'y avait personne chez lui...
j'aurais tellement dû refuser!
je vous laisse imaginer la suite, c'est pas bien dur.
rebelote 15 jours plus tard. personne chez lui. je pensais l'avoir récupéré.
j'avais concocté un week end en amoureux, vous vous en souvenez peut être... je l'ai invité avec l'excuse que c'était pour mon anniversaire.
je voulais que ça soit des retrouvailles en quelque sorte. j'avais tout prévu, j'avais payé le train, pour deux, la chambre, pour deux, et je payais le resto, pour deux. loïc, en grand gentleman, m'a tout de même offert un coca et une crèpe, si si il insiste.
on s'est promenés à cassel, ville dans les monts de flandres, on a fait un petit resto flamand délicieux, avec une vue sensas sur saint omer entre autres, on a dormi dans une chambre d'hotes des plus originales... mais ce n'est pas ça que je retiens. je retiens la façon dont il a occupé notre temps.
à peine arrivé à cassel, qu'il voulait trouver un coin calme, pour se poser. on a dégoté un parc, à coté de la salle de sport où j'avais passé quelques compètes de badmington étant au collège. il a commencé à me carresser, à mettre la main dans mon jean, se plaignant de son étroitesse... je ne voulais pas, je le repoussais, il insistait. il voulait me déshabiller. s'en foutait des passants. il me faisait mal, mais je ne disais rien, je ne voulais pas le brusquer, après tout le mal que je m'étais donné pour l'amener là, pour qu'on soit ensemble, qu'on redevienne un couple! mais il me faisait souffrir, au point de contact de sa main avec mon sexe, il était limite brutal, sans doute dans un esprit pervers et sadique. et il me faisait souffrir aussi dans ma dignité... ce n'est pas de ça que je voulais! je refusais de tout mon être, mais ne l'en empêchais pas, si ça pouvait me le ramener...
le soir, dans la chambre d'hote, rebelote, à peine la porte fermée... il a tiré son coup, rapido. inutile de faire des préliminaires de toutes façons, je n'aurais souffert qu'encore plus, vu que j'avais été tripotée toute l'après midi, bonjour les irritations.
le matin, au réveil, re-rebelote. à peine le temps de me réveiller.
tout au long de la journée, retour dans ce même parc, à me tripoter, et à réclamer sa part en plus. il fallait que je le masturbe. que je le suce. et vous savez quoi? malgrès mon dégout, je l'ai fait! je voulais lui faire plaisir!!
quelques jours plus tard, il m'a plaquée définitivement, et pour bien me calmer, vu que je voulait pas le lacher, il m'a craché au visage que bien sûr qu'il avait abusé de moi, qu'il n'était venu que pour tirer son coup...
il a abusé de moi, on peut même dire qu'il m'a violée!
et vous en connaissez les conséquences...